Consultations

Consulter un psychologue c’est un acte de courage et de liberté. Vraiment.

Et recevoir une demande de consultation, c’est à chaque fois comme un cadeau, un petit miracle.

Pourquoi (ou quand) voir un « psy » ?
chercher image avec deux personnes sur un chemin

Quand on se sent mal, y compris physiquement (insomnies, douleurs récurrentes et qui ne trouvent souvent pas de causes médicales), quand on a le sentiment de vivre « sous stress », en insécurité ; quand on vit des comportements incontrôlés (compulsions à certains actes comme vérifications, besoin de « se remplir », ou remplir son espace), peurs irrépressibles, addictions (alcool, drogue, jeu, sexe, pornographie … )

Quand on ne trouve pas de solution ou d’issue à une situation de vie : changer de job, établir une relation affective satisfaisante et stable, vivre en famille de manière sereine et joyeuse (et en accepter les moments rugueux !), sortir de relations délétère voire toxiques, mener des projets qui nous tiennent à cœur

Quand on a vécu des évènements graves voire traumatiques ponctuels ou récurrents qui laissent des plaies psychologiques et affectives et impactent directement ou pas notre vie voire notre quotidien : accident, décès brutal ou « indépassable » d’un proche, maltraitances et abus psychologiques, physiques ou sexuels. Concrètement on peut vivre des flash-back, des limitations ou des prises de risques dans son quotidien, avoir des difficultés de concentration, de mémoire, se sentir en insécurité (« sur le qui-vive ») et tout un cortège de symptômes plus ou moins « psy », plus ou moins grave et handicapants..

 

La plupart du temps on a « tout essayé », y compris de vivre comme si tout était ok. Mais à un moment, c’est trop, c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase, ce sont les proches qui tirent la sonnette d’alarme, c’est le professionnel (coach, praticien, professionnel de santé) qui oriente. Et là, il faut un vrai courage pour « passer le pas », oser un acte de confiance par-delà les craintes, les on-dit ; d’espoir de sortir du tunnel, du brouillard, du doute, de l’impasse.

Ma priorité : établir une relation de confiance où vous vous sentirez accueilli, écouté, respecté dans tout ce que vous êtes.

Et ensuite ?

Je travaille avec une palette d’outils variés, notamment au début du travail. Cela peut être les contes, les huiles essentielles , de travailler sur l’emploi du temps quotidien, l’argent, les rythmes de vie avec les 4 éléments , la communication .

Sur le plan du soin psychique, je travaille principalement avec l’Intégration du Cycle de la vie, méthode mise en place par Peggy Sage et déployée en France sous l’impulsion notamment de ma collègue Joanna Smith, mais également avec le récit de soi, l’approche existentialiste développée par Victor Frankl (logothérapie).

Vision et perspectives : ce qui construit mon approche

Je regarde la personne dans son intégralité, c’est-à-dire corps, âme (la psyché) et esprit (la dimension spirituelle, essentielle pourrait on dire aussi). Une de mes grandes phrases est que « nous ne sommes pas des rondelles de saucisson », ce qui est très franchouillard et prosaique j’en conviens ! Cela signifie cependant que toutes les parties de nous-mêmes sont liées, que notre vie est un tout, une continuité malgré les ruptures et les changements de direction. Nous sommes un … et unique.

Un second thème est que « nous faisons à tout instant ce que notre système interne (corps-psyché-esprit) nous indique comme étant la meilleure des solutions possibles ». C’est rarement la meilleure solution « objective », mais c’est la meilleure au regard de ce que nous percevons de la situation, de nos ressources internes et externes, de ce que nous avons « appris » de la vie.

Le troisième axe qui sous-tend mes pratiques est que tant que nous sommes en vie, nous aspirons à la liberté, c’est-à-dire à penser et agir selon ce qui est réellement le meilleur pour nous… et donc pour les autres ; car il n’y a pas de conflit entre mon bonheur et selon de l’autre, pas plus que mon bonheur et l’écosystème. Et cette liberté passe par une exigence de vérité intérieure, sur qui je suis, ce que j’ai vécu, ce que je fais et pense maintenant.

Enfin, et peut être couronnant les autres, nous sommes des êtres de relation : nous ne grandissons que par et dans le regard d’amour de l’autre, pas toujours celui qui devrait être le premier c’est une réalité douloureuse ; et nous ne sommes épanouis que dans le lien avec autrui. L’isolement et la solitude sont les deux vécus déshumanisant. En quelque sorte la relation à l’autre est le point de départ et d’achèvement de notre existence sur cette terre.

 

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